Karel grandit dans la cité Antonin Artaud, au nord de Marseille, une cité fictive adossée au massif de l’Étoile et flanquée d’un bidonville, « le passage 50 », habité par des gitans sédentarisés. Il vit avec sa sœur Hendricka et son petit frère Mohand, infirme. Ils essaient de survivre à leur enfance, entre maltraitance, pauvreté des parents, et indifférence des institutions. Dans la communauté de gitans, ils trouveront l’amitié, l’amour, et un secret bien enfoui… Un roman magnifique, sombre et lumineux à la fois, sur la France des laissés-pour-compte.
« C’est cru, c’est cruel et, loin de tout pathos, l’écriture charnelle de Rebecca Lighieri exhale le langage des corps. Leur beauté, leurs stigmates, leurs souffrances et leurs manques. On palpite avec eux. » La Croix
« Sans céder au déterminisme, Rebecca Lighieri nous livre ses personnages à travers une écriture pleine d’une poésie crue. » L’Express
Karel grandit dans la cité Antonin Artaud, au nord de Marseille, une cité fictive adossée au massif de l’Étoile et flanquée d’un bidonville, « le passage 50 », habité par des gitans sédentarisés. Il vit avec sa sœur Hendricka et son petit frère Mohand, infirme. Ils essaient de survivre à leur enfance, entre maltraitance, pauvreté des parents, et indifférence des institutions. Dans la communauté de gitans, ils trouveront l’amitié, l’amour, et un secret bien enfoui… Un roman magnifique, sombre et lumineux à la fois, sur la France des laissés-pour-compte.
« C’est cru, c’est cruel et, loin de tout pathos, l’écriture charnelle de Rebecca Lighieri exhale le langage des corps. Leur beauté, leurs stigmates, leurs souffrances et leurs manques. On palpite avec eux. » La Croix
« Sans céder au déterminisme, Rebecca Lighieri nous livre ses personnages à travers une écriture pleine d’une poésie crue. » L’Express